D’un comportement ombrageux, dès que je tentais de caresser sa nuque, elle rentrait la tête dans les épaules, en émettant un soufflement furibard. Moins d’une demi-heure plus tard, rassasiée de concombres, de laitues, et même parfois d’une mangue découpée en quartiers, elle finissait enfin par tolérer sur son dos mes 80 kilos.
Te Ara Tapu
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