Rhapsodie nantaise

J’aimerais ce soir dédier ce récit à ma petite et si charmante Nicole Dion, de Mouilleron-en-Pareds, morte toute seule à l ‘âge de sept ans, dans la nuit du 6 Janvier 1959, à l’hôpital de Nantes.

Sans doute parce que ce monde n’était alors pas fait pour le séjour des Anges.

Un soir, je lui ai pris la main et je lui ai promis de la guider un jour vers les plus beaux Chemins du Monde mais, le lendemain matin, elle n’était plus là, disparue dans la nuit, refusée à l’aube nouvelle. En emportant ce dernier rêve.

Son vieux médecin qui ne l’a jamais oubliée

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