9. Les Sorcières de Macbeth

La France des années 20 !!! Le noir était à la mode, des nuées sinistres de corbeaux hantaient les vieux champs de bataille. Egalement vêtues de noir, des milliers de veuves au regard vide erraient dans des villes silencieuses où une industrie fonctionnait à plein : celle des Monuments aux Morts !

Infortunées victimes, pauvres morts. Leurs monuments, qui occupaient les places des villes et des villages de France et qui, 90 ans plus tard, serviraient de crachoirs ou de lieux d’aisance à toute la racaille africaine venue investir la place de ceux qui s’étaient fait rouler dans un suicide collectif, face à nos frères allemands jetés dans le même traquenard.

Mais pour eux, il faudrait organiser un massacre supplémentaire pour en venir définitivement à bout. De 1939 à 1945, ce fut chose faite. La voie était enfin devenue libre pour porter un nouveau monde sur les fonts baptismaux !

Un nouveau monde … Oui ! Certes un nouveau monde, mais un univers étrange, un univers pareil à un univers de malade, peut-être comparable à un canard décapité qui court au hasard, encore quelques instants en battant des ailes, avant de s’abattre définitivement, immobile, figé dans une mort éternelle. Un univers désenchanté où les derniers Européens n’avaient plus de Dieux ni plus de Religions, plus de Patrie non plus, plus de Famille, plus de Travail valorisant, plus d’Honneur. Partant, plus de respect de la Parole Donnée, plus de Justice, plus le moindre code de conduite.

Il y avait peut-être plus grave encore : plus de Culture et, par une singulière inversion des Valeurs, plus le moindre sens de l’Esthétique héritée des Anciens et en particulier des Grecs, de l’esprit de cette Race qui porta jadis sur les fonts baptismaux notre grande geste européenne, parce qu’elle sentit régner sur le chaos qui nous entoure l’Ordre que nous avons en nous.

Un Monde où les jeunes femmes, à l’image d’une « Amy Winehouse », percées de dizaines de crochets, tatouées d’autant de graffitis obscènes, s’abattaient, mortes à vingt-sept ans, gangrenées d’héroïne et d’alcool.

Les Sorcières de Macbeth gouvernaient désormais l’esprit des hommes :

       « Fair is foul, and foul is fair / Hover through the fog and filthy air”.

Ne proposait-on pas hier à l’admiration des foules  une « Œuvre d’Art contemporaine ! », c’est-à-dire un Christ en croix immergé dans de l’urine de chameau ? Mais prenez-vous conscience du niveau de sottise et d’avilissement où nous sommes aujourd’hui tombés pour en arriver là ?

Oui ! Les sorcières de Macbeth commandent désormais nos destinées et gouvernent ce nouveau monde. Infiniment pernicieuses, elles planent comme des démons, dont elles sont les émissaires, sur le champ de bataille où règnent la perfidie et la dévastation. Dès qu’elles nous apparaissent, c’est pour proclamer : « Le Hideux est Beau, et le Beau est Hideux ! »

Que restait-t-il donc dans ce caravansérail ravagé par la corruption, les divorces, la démographie du tiers-monde devenue folle, les gouvernants stupides, arrogants, prévaricateurs, dévoyés, incultes, sournois, filous, voleurs et gens de Néant ?

Bref ! Aussi intrinsèquement cons que des Norvégiens !

Il restait l’Argent ! L’Argent Roi qui allait générer la non-civilisation pourrie de consommation frénétique et précipiter le Monde dans le Chaos.

Le Chaos et la Nuit qui s’abattaient sur ce pays jadis béni des Dieux, et où poussaient maintenant par centaines, comme une prolifération vénéneuse et malsaine de champignons empoisonnés, les mosquées conquérantes d’un Islam assoiffé de vengeance, de carnage et d’extermination.

Et tout cela, bien sûr, dans la plus parfaite bonne conscience des guignols politiques que la « démocratie » nous avait imposés, par le truchement des « chers zèlecteurs », soigneusement cornaqués par des médias aux ordres de « Big Brother ».

 « Lorsqu’on ne peut effacer ses erreurs, on les divinise, on fait un dogme de ses torts, on change en religion des sacrilèges et l’on se croirait apostat de renoncer au culte de ses iniquités. »

Mais dans ce nouveau monde, sournoisement embusqué là-bas, dans l’ombre propice, riche de désastres futurs pressenti, maître de la Vie et de l’Eternité, un Monstre absolu se tenait tapi, aux aguets : LE PLUTONIUM !

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