Dans les rues de Sanaa

Au commencement la terre était informe et vide, les ténèbres couvraient l’abîme… Mais l’Esprit de Dieu planait sur les eaux.

Il avait plu, il avait plu, mais plu comme jamais, du Bab-El-Mandeb, la grande porte des pleurs, jusqu’à l’Hadramaout, et le Rub-Al-Khali, ce farouche désert de pierres et de sable, où l’implacable soleil brisait les rochers les plus durs. Toute la terre avait sombré au sein d’un océan sans limites.

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